Coup de Coeur

Auteur : K
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K est la 11e lettre et la 8e consonne de l'alphabet latin. Elle a pour origine la lettre κ (kappa) de l'alphabet grec. C'est la lettre la plus rare en français.

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Ķ (minuscule : ķ), appelé K cédille, est un graphème utilisé dans l’écriture du letton et dans la romanisation ISO 9. Il s'agit de la lettre K diacritée d'une cédille.

Pour des raisons techniques historiques de codage informatique du K cédille, celui-ci est utilisé dans l'écriture du letton pour représenter le K virgule souscrite ‹ k̦ › et sa cédille est représentée par un trait ressemblant à une virgule souscrite dans les fontes adaptées au letton.

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(minuscule: ), appelé K accent grave, est un graphème de l’alphabet latin utilisé dans l’écriture du bambara ou romanisation de l’alphabet cyrillique ISO 9. Il s’agit de la lettre K diacritée d'un accent grave.

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(minuscule : ), appelé K virgule souscrite, est un graphème utilisé dans la romanisation ISO 9 pour translittérer le ka cramponné ‹ Қ қ ›. Il s'agit de la lettre K diacritée d'une virgule souscrite.

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, ou K trait souscrit ou K souligné, est un graphème utilisé dans l’écriture de l’oneida. Il s’agit de la lettre K diacritée d'un trait souscrit ; trait qui peut s'associer à celui que peut comporter la lettre précédente ou suivante comme si elles étaient soulignées d'un seul trait. Il n’est pas à confondre avec le Ḵ, K macron souscrit.

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(minuscule : ), appelé K accent circonflexe, est un graphème utilisé dans l’écriture du khinalug ou dans la romanisation de l’alphabet cyrillique ISO 9. Il s’agit de la lettre K diacritée d'un accent circonflexe.

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(minuscule : ), appelé K macron, est un graphème utilisé dans l’écriture de l’assiniboine, et dans la romanisation ISO 9, la romanisation ISO 233-1 de l’écriture arabe, la romanisation ISO 11940 du thaï et les romanisations KNAB du thaï et du thaï du Nord. Il s'agit de la lettre K diacritée d'un macron.

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(minuscule : ), ou K accent aigu, est un graphème utilisé dans l’écriture du saanich et du santali, ou dans la romanisation du macédonien. Il est parfois utilisé dans la romanisation de l’alphabet kharoshthi. Il s'agit de la lettre K diacritée d'un accent aigu.

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(minuscule : ), appelé K point souscrit, est une lettre additionnelle latine, utilisée dans l’écriture du buang mapos et dans certaines romanisations ALA-LC, GENUNG, BGN/PCGN, translittération, et ISO 11940. Il s’agit de la lettre K diacritée d’un point souscrit.

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(minuscule : ), appelé K point suscrit, est une lettre additionnelle latine utilisée dans l’écriture du hopi. Elle est aussi utilisée dans certaines romanisations ALA-LC. Il s’agit de la lettre K diacritée d’un point suscrit.

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(minuscule : ), appelé K tréma, est un graphème utilisé comme lettre latine additionnelle dans la romanisation de l’écriture manichéenne. Elle est formée de la lettre K diacritée d’un tréma suscrit.

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(minuscule : ), appelé K tréma souscrit, est un graphème qui était utilisé dans la romanisation ALA-LC du copte. Elle est composée de la lettre K diacritée d’un tréma souscrit.

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(minuscule : ), appelé K virgule suscrite, est une lettre latine utilisée dans l’écriture du comox, du haisla, du heiltsuk, du kutenai, du kwak'wala, du nitinaht, du nuuchahnulth ehattesaht, du st'at'imcets, du shuswap, du thompson, et de l’umatilla. Il s’agit de la lettre K diacritée d’une virgule suscrite.

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Ǩ (minuscule : ǩ), appelé K caron ou K hatchek, est une lettre utilisée dans l'écriture du laze, du same skolt et dans la romanisation ISO 9 pour la lettre cyrillique ka potence ‹ Ҡ ҡ ›. Elle est formée de la lettre K diacritée d'un caron.